Sonnet à Dundalk
Dundalk
Dundalk, Dundalk, Dundalk, c'est le souffle du vent
Dansant dans les galets de ces belles plages noires
Lézardant sur les pierres des maisons et manoirs
Et chantant dans les ailes des oiseaux dérivant
Dundalk, Dundalk, Dundalk, c'est le bruit de la pluie
Tambourinant gaîment sur les toits de tuiles sombres
Martelant aux fenêtres ondulantes des Scombres
Me dépêchant au pub ou m'attend icelui
C'est les Dolmens du nord qui se dressent fièrement
C'est Conaill Carnagh qui peuple les légendes
C'est Kilani la rouge qui me fait sa demande
C'est le sourire des gens qui se lèvent vaillamment
C'est mes yeux qui se perdent aux beautés de la lande
Dundalk est une feuille sur le trèfle d'Irlande